KINGNEWSWIRE / Communiqué de presse / Bruxelles, le 17 juillet 2025 — Dans le cadre du Bois de la Cambre, le week-end des 12 et 13 juillet a vu naître le Festival Afrodisiac, un événement culturel familial organisé dans la capitale belge, au cœur des institutions européennes, qui célèbre la musique, la danse, la gastronomie et la solidarité africaines.
Alors que les enfants s’amusaient dans le village et que les familles partageaient les délices du marché afro, un stand s’est distingué au milieu de l’ambiance festive pour relayer un message de santé publique essentiel : les dangers de la consommation de drogues.
Une célébration culturelle qui a du sens
Créé en 2006 et aujourd’hui le plus grand festival culturel de la diaspora africaine à Bruxelles, Afrodisiac promeut la solidarité et la sensibilisation. Son édition 2025 est consacrée à « Les enfants du Congo, l’avenir d’un continent » et met en avant les droits des enfants africains à travers l’art, des ateliers, des spectacles et des stands de restauration. Cette célébration prend une résonance particulière à Bruxelles, où la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil européen renforcent symboliquement les messages d’unité et de bien-être.
La vérité sur la drogue : les faits rencontrent le festival
L’exposition mobile « La vérité sur la drogue », une nouvelle présentation éducative de pointe rendue possible grâce au soutien des membres de l’Association internationale des scientologues, a été mise en place sur place par Julie Delvaux, coordinatrice de Drug-Free World Belgium (Ditesnonaladrogue) et membre du conseil d’administration de la Fondation pour une Europe sans drogue.

De l’installation tôt le matin jusqu’au coucher du soleil, Julie et son équipe dévouée ont fait forte impression : en seulement deux jours, ils ont rencontré des centaines de visiteurs grâce à l’exposition immersive, ont incité des personnes à signer l’engagement pour une vie sans drogue et ont distribué 1 286 brochures éducatives directement aux familles et à la communauté.
Julie Delvaux a déclaré :
« Lorsque les adolescents ont essayé les lunettes de simulation après notre mini-conférence, ils ont littéralement dit : « On ne touchera jamais à ça. » Ce sont des moments comme ceux-là qui font que cela en vaut la peine. »Julie Delvaux, PRÉSIDENTE DE DITES NON A LA DROGUE BELGIQUE
Des coordinateurs d’organisations de jeunesse aux éducateurs, en passant par un pompier et des professionnels de la santé, nombreux sont ceux qui recherchent des possibilités de partenariat pour lutter contre l’impact croissant des problèmes liés à la drogue dans leurs domaines respectifs. Le personnel des cliniques de désintoxication se mobilise également en distribuant du matériel éducatif dans les salles d’attente, car il constate une augmentation du nombre de patients touchés par la toxicomanie. De plus, une ancienne toxicomane s’est engagée à participer à la campagne en partageant son témoignage, dans le but d’inspirer d’autres personnes à travers son histoire.

Une campagne ancrée dans une vision humanitaire
L’initiative « La vérité sur la drogue » fait partie de la Fondation pour un monde sans drogue, ancrée dans la philosophie humanitaire de L. Ron Hubbard : « L’élément le plus destructeur présent dans notre culture actuelle est la drogue. » Sa conviction que la sensibilisation peut éviter la souffrance inspire le réseau mondial de « La vérité sur la drogue », des écoles aux festivals comme Afrodisiac.
Le contexte européen : sombre mais surmontable
Ces efforts sont essentiels. Dans toute l’Union européenne, selon l’Agence européenne des drogues, la consommation de drogues illicites reste très répandue : environ 29 % des 15-64 ans ont consommé des drogues illégales au cours de leur vie, et 8 % ont consommé du cannabis au cours de l’année écoulée, soit environ 22 millions d’Européens. La cocaïne, deuxième substance la plus consommée sur le continent, a atteint environ 3,5 millions d’utilisateurs adultes l’année dernière, avec une consommation concentrée chez les 15-34 ans.

Les données récentes sur les eaux usées à Bruxelles et à Anvers montrent que la présence de cocaïne a doublé en 2024 par rapport à 2023, atteignant près de 1,2 g par 1 000 habitants par jour, ce qui souligne la tendance à la hausse des stimulants dans les rues belges. En outre, la surveillance à l’échelle de l’UE met en évidence une augmentation inquiétante de la polytoxicomanie, souvent associée au cannabis, à la MDMA, aux opioïdes synthétiques et aux tranquillisants.
Ivan Arjona-Pelado, président du Bureau européen de l’Église de Scientologie pour les affaires publiques et les droits de l’homme, qui supervise les différentes campagnes sociales menées par les scientologues à travers l’Europe, a salué cette initiative :
« Il est inspirant de voir des jeunes et des familles choisir la connaissance et la responsabilité plutôt que l’ignorance et le danger. Cette campagne reflète une manière très concrète de protéger l’avenir de nos enfants. Nous continuerons à soutenir toutes les initiatives qui apportent la vérité et la prévention directement aux communautés. »
Au siège de la gouvernance européenne à Bruxelles, où se dessinent les politiques pour tout le continent, l’action locale trouve un écho tout aussi important. L’exposition de l’équipe de « La vérité sur la drogue » à Afrodisiac a fait le lien entre la célébration culturelle et la santé publique, en traduisant les tendances mondiales en matière de drogue en histoires personnelles et en choix éclairés. Alors que Bruxelles nourrit l’avenir de l’Europe, les campagnes locales défendent son bien-être, une décision éclairée à la fois.
Soutenue et appuyée par l’Église de Scientologie et son dirigeant ecclésiastique, M. David Miscavige, la campagne « La vérité sur la drogue » est devenue l’une des plus grandes initiatives non gouvernementales d’éducation et de prévention en matière de drogue au monde. Elle est active dans plus de 180 pays et distribuée dans des dizaines de milliers d’écoles, de groupes communautaires, de services de police et d’organisations de jeunesse. Ses supports clairs et factuels ont été reconnus par des éducateurs, des forces de l’ordre et des organismes gouvernementaux du monde entier, poursuivant ainsi la vision de L. Ron Hubbard qui consistait à donner aux gens les moyens de se défendre contre la toxicomanie grâce à la connaissance.























