Human Rights Watch (HRW) a publié dimanche un rapport exhortant dimanche l’État du Sarawak de la Malaisie à protéger les droits autochtones après qu’une entreprise ait enregistré du bois sans le consentement gratuit, antérieur et éclairé (FPIC) d’une communauté Iban autochtone.
HRW a demandé à Sarawak de «faire respecter leurs lois qui réglementent le commerce des produits du bois» et pour «les acheteurs internationaux de produits en bois malaisiens – y compris l’Union européenne, les États-Unis et le Japon – pour appliquer les lois sur la durabilité pour les importations de bois». Plusieurs de ces acheteurs ont des lois existantes applicables, notamment la Lacey Act 2008 US 2008 et le Règlement sur le bois de l’UE, qui pourrait aider à garantir que les droits autochtones sont respectés dans le commerce du bois.
HRW a en outre recommandé que le Sarawak modifie son code foncier pour refléter les droits et obligations exprimés dans la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (UNDRIP), l’un des nombreux instruments de droits autochtones trouvés en droit international. Selon l’ONU, le droit indigène de FPIC est enraciné dans undrip et d’autres instruments.
Le rapport de HRW a décrit comment le gouvernement du Sarawak a autorisé Zedee, une entreprise forestière, à se connecter à la «moitié orientale» des terres ancestrales de la communauté autochtone de Rumah Jefferey. Le rapport a noté que puisque la communauté «n’a pas de [formal] Le titre de leurs terres “, ils sont” vulnérables à l’empiètement “par Zedee.
Partout dans le monde, les organisations internationales ont indiqué que les droits des communautés autochtones avaient également été violés. En février, HRW a critiqué le rôle du gouvernement américain dans la violation du droit au FPIC des peuples Numu, Nuwu et Newe lors de l’autorisation de lithium Americas à exploiter le col de Thacker au Nevada. En janvier, Amnesty International a rendu compte des violations des droits des peuples autochtones aux Philippines en raison de l’expansion de l’exploitation de nickel.
Le Centre national de vérité et de réconciliation au Canada a fait écho à la discussion sur l’importance de la mise en œuvre de l’UNDRIP, en particulier en droit national, car elle décrit comment les gouvernements peuvent «[work] en partenariat avec les peuples autochtones dans un esprit de respect mutuel. »